Née à Lyon (69) en 1960
Vit et travaille en Saône-et-Loire (71)
Vit et travaille en Saône-et-Loire (71)

Le bateau fantôme - 2023 - Peinture à la cire sur bois - 150 x 150cm
Que serait la poésie de l’oeuvre présentée au regard si elle n’attestait la beauté puissante de la nature ?
Transposée par la surface sur laquelle la matière a été déposée, elle suit les méandres des chaos qui peu à peu constituent un ordre. Un fragment de paradis. Ce pays nous appelle et nous confirme que rêvant nous n’avons pas rêvé. Car ici nous logeons. Pourtant « là bas », fuir est toujours cet appel du pays introuvable. L’étendue se répand, mesurée par le geste et grandiose par la scénographie.
Le paysage est un pays d’enfance regagnée. Le temps enfin retrouvé. Car la mémoire qui paraissait dispersée a été rassemblée comme un carbone taillé en diamant, piégeant les lumières de l’enfance angélique.
Le grand air des marées et de leur vent lunisolaire nous mène vers l’écume silencieuse.
Pascal Payen Appenzeller
Transposée par la surface sur laquelle la matière a été déposée, elle suit les méandres des chaos qui peu à peu constituent un ordre. Un fragment de paradis. Ce pays nous appelle et nous confirme que rêvant nous n’avons pas rêvé. Car ici nous logeons. Pourtant « là bas », fuir est toujours cet appel du pays introuvable. L’étendue se répand, mesurée par le geste et grandiose par la scénographie.
Le paysage est un pays d’enfance regagnée. Le temps enfin retrouvé. Car la mémoire qui paraissait dispersée a été rassemblée comme un carbone taillé en diamant, piégeant les lumières de l’enfance angélique.
Le grand air des marées et de leur vent lunisolaire nous mène vers l’écume silencieuse.
Pascal Payen Appenzeller