Né à Lyon (69) en1959
Vit et travaille à Cours-la-ville (69)
Vit et travaille à Cours-la-ville (69)
Les pieds au plancher, la tête dans les nuages, en route - Photographies
numériques, impression pigmentaire - 9 x 30 x 45cm (95 x 150 cm)
numériques, impression pigmentaire - 9 x 30 x 45cm (95 x 150 cm)
Les pieds au plancher, la tête dans les nuages, en route…
Spectateur d’un ruban qui défile, semblable et pourtant jamais le même ni tout à fait un autre… Acteur d’un instant fugace, incertain, où bercé de souvenirs le temps d’une invitation à…Il fallait cette lumière blafarde, hésitante, un temps de pose qui s’alanguit. Les virages, les freinages, les accélérations définissent ces photos se fondant, se confondant dans leurs contours tremblés. Comme si d’hasardeux hasards pouvaient être heureux, produire cet aléatoire : voir ce que l’on a cru voir…l’affiner si possible, l’enregistrer, le reproduire.
Et, à mi parcours (comme ce ne sont qu’allers-retours) il y eut cette marelle trop blanche dans les brouillards. Cette image qui appelle à se jouer des souvenirs et des mots et à recommencer. Un fragment de réel qui face aux fictions qu’elle laisse possibles semble convoquer bien peu de réalité. Ce jeu, ces allers retours, ces « expérimentations» s’inscrivent plus dans un récit, une romance… sans parole, que dans une collection. Il ne reste qu’une tentative souhaitant réaliser une économie de cinéma, qu’est-ce à dire ! Il était une fois…neuf images.
P. A
Spectateur d’un ruban qui défile, semblable et pourtant jamais le même ni tout à fait un autre… Acteur d’un instant fugace, incertain, où bercé de souvenirs le temps d’une invitation à…Il fallait cette lumière blafarde, hésitante, un temps de pose qui s’alanguit. Les virages, les freinages, les accélérations définissent ces photos se fondant, se confondant dans leurs contours tremblés. Comme si d’hasardeux hasards pouvaient être heureux, produire cet aléatoire : voir ce que l’on a cru voir…l’affiner si possible, l’enregistrer, le reproduire.
Et, à mi parcours (comme ce ne sont qu’allers-retours) il y eut cette marelle trop blanche dans les brouillards. Cette image qui appelle à se jouer des souvenirs et des mots et à recommencer. Un fragment de réel qui face aux fictions qu’elle laisse possibles semble convoquer bien peu de réalité. Ce jeu, ces allers retours, ces « expérimentations» s’inscrivent plus dans un récit, une romance… sans parole, que dans une collection. Il ne reste qu’une tentative souhaitant réaliser une économie de cinéma, qu’est-ce à dire ! Il était une fois…neuf images.
P. A