Né à Ambérieu-en-Bugey (01) en 1971
Vit et travaille à Saint-Georges-de-Reneins (69)
Vit et travaille à Saint-Georges-de-Reneins (69)

AI 2023 (détail) - Peinture numérique sur tissu, 1,40 m x 3 m
Diplômé des beaux-arts de Lyon, je travaille depuis de nombreuses années pour le secteur du luxe et de la publicité. Depuis quelques années, j’ai eu besoin de créer des oeuvres personnelles, d’expérimenter avec mon medium de prédilection, à savoir le numérique. Je sculpte, peins, et mets en lumière mes créations sur ordinateur.
Ma première collection est largement inspirée par le Japon, les poupées et l’anatomie. Les poupées japonaises ont une longue histoire et une signification culturelle profonde au Japon. On peut projeter beaucoup de chose à travers ces poupées, conférant à cet objet une autre dimension. Qu’elles soient purement kawai (mignonne), support rituel (Gogatsu ningyo), projection de l’enfance ou de l’ambiguïté de l’être à venir. J’y insuffle ma vision, insère mes commentaires en filigrane, me questionnant ainsi sur l’animisme, les nouvelles technologies et le rapport au vivant et au corps, à l’ambiguïté de cette culture qui me fascine.
En ajoutant l’AR à mon travail, j’incorpore également une dimension interactive, ludique, permettant au public de s’engager avec mes créations de manière plus immersive. Je poursuis donc un sillon commencé il y a quelques années et creusé par de nombreux artistes, d’Hans Bellmer à Ray Caesar. A La Filature, Opus 50 expose aussi des Hologrammes, micro-univers 3D, créés à 4 mains avec Sabine Briffox. T. L
Ma première collection est largement inspirée par le Japon, les poupées et l’anatomie. Les poupées japonaises ont une longue histoire et une signification culturelle profonde au Japon. On peut projeter beaucoup de chose à travers ces poupées, conférant à cet objet une autre dimension. Qu’elles soient purement kawai (mignonne), support rituel (Gogatsu ningyo), projection de l’enfance ou de l’ambiguïté de l’être à venir. J’y insuffle ma vision, insère mes commentaires en filigrane, me questionnant ainsi sur l’animisme, les nouvelles technologies et le rapport au vivant et au corps, à l’ambiguïté de cette culture qui me fascine.
En ajoutant l’AR à mon travail, j’incorpore également une dimension interactive, ludique, permettant au public de s’engager avec mes créations de manière plus immersive. Je poursuis donc un sillon commencé il y a quelques années et creusé par de nombreux artistes, d’Hans Bellmer à Ray Caesar. A La Filature, Opus 50 expose aussi des Hologrammes, micro-univers 3D, créés à 4 mains avec Sabine Briffox. T. L